Je passe assez rapidement aujourd'hui, puisque je viens subitement de me rendre compte que demain j'ai un partiel de droit du marketing et donc plein de notions à faire entrer dans ma petite tête sur les brevets, les droits d'auteur, les marques, les contrefaçons, le parasitisme, et la législation en matière de publicité et actions marketing. Un programme passionnant, en somme - je dors déjà -.
Juste que cela fait déjà quelques mois que Raul Paz a sorti son dernier album, qui porte le nom d'Havanization, qui comme chacun de ses albums, n'a rien à voir avec le précédent, ni même avec aucun des précédents, mais qui reste curieusement très Raul Paz quand même, va savoir comment il fait.
Dans cet album, on a la sensation - enfin j'ai la sensation, j'assume - que l'artiste renoue avec Cuba, mais le Cuba d'aujourd'hui. Après 20 ans en France, il a décidé l'an dernier de retourner au pays. Ceci explique cela.
Cet album c'est finalement tout ce qu'il a retenu de ses voyages, additionné d'un retour chez lui, et non plus de ses souvenirs du pays. Les morceaux sont donc moins "Cuba traditionnel", campo et compagnie, et plus moderne, plus bougeant.
Intéressant, j'ai envie de dire, même si le changement cette fois ci me parait un peu compliqué à avaler parce que moi j'adore les artistes qui font des albums qui ne changent pas trop de style. Alors du coup il me faut un peu le temps de m'habituer à ce nouveau Raul Paz, mais je pense quand même que ça devrait le faire, parce que mine de rien j'aime bien ce changement, et surtout que ça reste lui, souriant, espiègle, un peu impertinent, un peu fou.
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